A.Bruneau - Le départ

Je sais que tu es là,
Je sais que tu vas lire ses quelques lignes,

Nous le savons, je disparais un peu plus à chaque minutes qui passent..

Mais souviens toi de moi, regarde moi dans les yeux,
Souviens toi comme nous étions heureux ensemble,

Dès ton plus jeune age nous étions comme des enfants à s'amuser,

Le temps à passé et nous a séparé, mais nos sentiments n'ont jamais changés,

Je te vois en train de rire, comme avant, quand je disais des bêtises,

Je te vois courir vers moi, lors de nos retrouvailles,

Je te vois pleurer de me voir partir une nouvelle fois,

Je te vois me serrer dans tes bras pour que plus jamais je ne te quitte,

Je te vois heureuse, lorsque nous étions ensemble,

Je te vois faire la tête lors de nos disputes,

Je te vois me faire tes yeux de chats pour te réconcilier,

Je te vois inquiète de ce que je deviendrai avec toi,

Je te vois fier de toi, de moi, et de nous aux travers des épreuves..

Je ne t'ai jamais quitté, bien au contraire,

Sans jamais me montrer j'ai toujours été là quand tu en avait besoin,

Sans jamais savoir que j'étais derrière toutes ces choses qui t'ont fait sourire,

Sans jamais que tu ne te souvienne de moi,

Sans jamais que tu te pose de questions,

Sans jamais te montrer que j'étais encore vivant.

Aujourd'hui, l'histoire se termine pour moi,

C'est la fin de mon chemin, la fin de mes souvenirs,

Il en aura fallu du temps pour te revoir sourire, pleurer, et revoir tes yeux si merveilleux,

Toi, ton visage, et tes gestes si doux, que plus personne ne pourra désormais me faire sentir,

Il en aura fallu du temps pour que je cicatrise, du temps pour me dire que tu avais raison,

Maintenant, j'ai fait ce qu'il y avait de mieux à faire, et j'en suis heureux,

Je garderai en mémoire ce doux vent dessinant ton visage dans le ciel,

Ton regard lors de mes départs, et celui de mes arrivées,

Ta joie à mon retour,

Mon cœur qui battait si fort lorsqu'il t'apercevait,

Ton cœur qui battait au même rythme du miens,

Tes bras me serrant si fort,

Ton amour inespéré que j'ai eu la chance de recevoir,

Il est l'heure,

Je dois désormais te laisser,

Prend bien soin de toi, et de ceux qui t'entourent,

Souviens toi de moi comme le petit garçon que j'étais lors de notre rencontre,

Celui qui était drôle et fou,

Intelligent et sentimental,

Ce seront les derniers mots que je pourrais t'adresser,

Je ne te dis pas à bientôt,

Mais sache que n'importe ou, lorsque tu es perdue, regarde les étoiles,

Qu'importe celle qui brillera, je n'en serait jamais loin.

A.Bruneau - @7 production - 23/07/15

Délirium.01

J’étais chez moi, tout ce qu'il y a de plus normal, quand je me retrouve sur ma pelouse avec 2 personnes effrayés, et un homme sur la rambarde qui veut nous tuer.

Ont court jusqu'au fond du jardin on saute un grillage et on traverse le jardin du voisin.

Chacun part de son coté.

Moi à peine le portail sauté, je me met sous une voiture.

Étroit mais bien caché, le tueur saute à son tour la grille et prend une voiture.

Par chance, la voiture de devant part avec ce tueur à nos trousses.

Il a kidnappé la jolie blonde qui était à mes cotés dans notre jardin.

Je sors de ma cachette et cours, avec les deux autres rescapés vers les gendarmes.

Mais sa voiture arrive, nous le reconnaissons et nous cachons.
Par chance il passe sans nous voir..

Et je me réveille..  

A.Bruneau